Revue de presse passée...

Revue des articles parus dans la presse régionale et/ou nationale concernant les communes de notre secteur.

De 1840
à nos 
jours...

01.

"L'Echo du Nord" est fondé en 1819 par l'imprimeur Vincent LELEUX. Le numéro 1 sort le 15 août 1819.

Libéral, il s'oppose à la presse royaliste ("Quotidienne de Lille").

En 1822, le journal est suspendu et son directeur emprisonné. De nouveau autorisé, le journal sera encore attaqué en 1828-1830 et en 1847.

Avec la République de 1848 et ses lois sur la liberté de la presse, le journal s'oppose au "Messager du Nord" journal démocrate radical.

Après le coup d'état de Louis-Napoléon de décembre 1851, le journal est interdit et son directeur Léon Gramain, emprisonné.

En 1852, il réapparaît avec Alexandre LELEUX, fils, gérant depuis 1836 et propriétaire, rédacteur en chef.

"L'Echo du Nord" paraîtra aussi sous le nom de "Grand Echo du Nord et du Pas-de-Calais" & "Grand Echo du Nord de la France".

Premières photos en 1907, le 27 février.

D'octobre 1914 à 1918, l'occupant allemand réquisitionne le journal qui paraît sous le titre "Liller Kriegzeitung" (Journal de guerre lillois).

Après la 1ère guerre mondiale, le journal accueille un quotidien polonais "Wiarus Polski" dont le 1er numéro sort le 1er juillet 1924.

Le tirage augmentant, le journal se construit un nouvel immeuble Grand-place de Lille, de juillet 1935 à mai 1937.

En 1944, sur décision du gouvernement provisoire, la presse "collabo" est redistribuée aux groupes de la résistance. Les dirigeants sont jugés et condamnés.

"Le Grand Echo" passe aux Gaullistes de "La Voix du Nord". 

En septembre 1945, après de nouveaux procès, une redistribution des journaux est effectuée.

"Le Journal de Roubaix" est donné au MRP.

"Le Réveil du Nord" devient "Nord Matin" et est donné aux Socialistes.

"L'Echo du Nord" reste aux Gaullistes sous le titre "La Voix du Nord".

"Liberté" (PC) et "La Croix du Nord", non-collabos, continueront de paraître sous leur nom.

02.

"Courrier du Pas-de-Calais" est fondé en 1

Libéral, 

03.

A l'origine, en 1827, "Journal d'annonces administratives, judiciaires et commerciales des ville et arrondissement de Saint-Pol" de sensibilité bonapartiste (ruche & abeilles).

En 1837, changement de nom : "Feuille d'annonces administratives, judiciaires, commerciales des ville et arrondissement de Saint-Pol"

En 1841, le journal prend le nom de "L'Abeille de la Ternoise".

04.

"Le lion d'Arras

05.

"Le Beffroi d'Arras" d

POPULATION :
Pas-de-Calais : 955 391 en 1901 ; 989 967 en 1921 & 1 466 743 en 2018.
Nord : 1 866 994 en 1901 ; 1 787 918 en 1921 & 2 606 234 en 2018.

Articles de presse... Année
Date & (n° journal)

18.. (02)

A

Articles de presse... 1841
Date & (journal)

1841/07/27 & 28 (02)

Saint-Pol : Réunion du Conseil d'arrondissement.

1841/08/02 (02)

Ramecourt : Début des fondations de l'hospice. La première pierre a été posée par M. Dambrines, propriétaire à Ramecourt. La construction de cet établissement a été rendue possible grâce au leg de 30 000 Fr de M. Ernest Levasseur, de La Thieuloye,

Il sera desservi par 2 religieuses de l'ordre de St Vincent de Paul qui donneront les soins aux pauvres malades de Ramecourt et tiendront une école gratuite pour les petites filles du village.

1841/08/07 (02)

Aubin Saint Vaast : Dramatique accident. Une petite fille gardait une vache au bord de la route. Un charretier vint à passer accompagné de son chien qui se mit à harceler la vache. Celle-ci, excitée par les aboiements, se retourna contre sa jeune gardienne ; elle le prit sur ses cornes et l'expédia devant la roue de la voiture ; elle fut écrasée.

1841/08/07 (02)

Nord (59) : Arrêté du Préfet interdisant la chasse aux lévriers sur tout le département pour 1841 & 1842.

18.. (02)

A

Articles de presse... 1842
Date & (journal)

1842/01/08 (02)

Ambrines : M. TORDEUX, curé d'Ambrines part à Longvillers & Maresville (Etaples).

1842/01/08 (02)

Ambrines : M. TORDEUX, curé d'Ambrines part à Longvillers & Maresville (Etaples).

1842/ (02)

Tincques :  

1848/01/09 (02)

Arras :  Mercredi 5 janvier, un jeune garçon de 7-8a jouait sur la glace près du pont de grès. La glace a rompu. Heureusement, il a été promptement retiré.

1848/01/13 (02)

Arras :  accident domestique. Dimanche 09 janvier, Melle Florence, âgée de 72a, pendant l'absence de sa domestique est tombée dans son feu. Elle a expiré après d'horribles tortures.

1848/01/21 (02)

Cambrai : exécution de Payen dit Saute-dessus. Dans la nuit de dimanche à lundi 17 janvier, le condamné fut éveillé à 2 H du matin dans la prison de Douai par l'aumônier qui le prévint de son sort. Il se contenta de répondre : "Vous savez bien que je suis prêt , j'aime mieux mourir que d'aller au bagne". Dès qu'il fut habillé, on le fit monter dans une charrette découverte escortée des gendarmes qui l'emmenèrent à Cambrai où il arriva vers 5H. A son arrivée, il prit une tasse de café noir pour se réchauffer. Peu après, on fit entrer dans sa cellule son neveu et sa mère qu'il embrassa tendrement en versant des larmes. Quand ils furent partis, il resta avec le prêtre.

Vers 08H, l'échafaud se dressait sur l'esplanade de la citadelle, monté par le bourreau et ses deux fils. Malgré le peu de publicité qu'on avait donnée à cette exécution, une foule importante de gens de la campagne et d'hommes attendaient aux abords de la guillotine.

A 08H30, le bourreau se rendit à la prison faire la toilette de Payen qui resta silencieux.

A 08H45, il quitta la prison sur une charrette à 4 roues tirée par un cheval et escortée de la gendarmerie et de la ligue. Payen, assis dos au cheval, ne cessa de fixer le crucifix que lui présentait l'aumônier. Il avait le teint extrêmement blême qu'il offrait le visage d'un mort. Au pied de l'échafaud, le prêtre lui tendit le crucifix qu'il embrassa. Les fils de l'exécuteur le soulevèrent et le placèrent sur la planchette sur le ventre. On ne le sangla pas attendu qu'il était sans mouvement. Quand sa tête fut placée dans la trappe, le couteau tomba immédiatement. Payen dit Saute-dessus venait de franchir l'espace qui le séparait de l'éternité.

1848/01/29 (02)

Pas-de-Calais : recrutement, classe 1847. Arrêté préfectoral fixant la date et l'heure du tirage au sort. Aubigny le 3 mars à 10H, Avesnes le 4 mars à 10H, Heuchin le 6 mars, 10H & Saint-Pol, 9 mars à 10H.

1848/02/02 (02)

Arras :  Jeudi 27 janvier, un jeune imprudent voulant tester la solidité de la glace près du pont de grès, a été englouti. Heureusement, plusieurs personnes formèrent une chaîne et le tirèrent à temps de l'eau glacée.

1848/02/12 (02)

Douai :  Jean Baptiste Digniel, 69a, condamné à mort par la Cour d'Assises de St-Omer pour infanticide est arrivé à la prison de Douai. Sa peine ayant été commuée en celle des travaux à perpétuité, il doit assister à l'entérinement des ces lettres de commutation. Le vieillard, affaibli par l'âge et souffrant, marchant avec difficulté, le visage pâle et flétri à l'aspect d'une figure de cire, est amené par 2 gendarmes armés aux pieds de la Cour pour écouter la lecture des lettres de grâce. Tout après, il est ramené à la maison d'arrêt.

1848/02/12 (02)

LE PUY, Haute-Loire (parce que tout n'est pas noir) :  Une femme en couches, expirait. Les voisins rassemblés interceptent M. MARTEL, docteur, qui passait. Ils lui expliquent. "Je n'ai pas mes instruments mais qu'on m'apporte un rasoir. Arrivé auprès de la malheureuse, il l'examine et attend son dernier soupir. Aussitôt, d'une main ferme et rapide, il ouvre le flanc de ce cadavre et en retire toute vivante une petite fille, baptisée sur le champ par un vicaire de la paroisse présent. Plus tard, on l'emmena à l'église pour être confirmée dans son baptême, et à la mairie pour être enregistrée à l'état civil.

Avant de se retirer, le Docteur MARTEL exprima le désir d'adopter cette enfant avec l'accord du père. Il la nommerait Césarine, l'élèverait suivant son rang et ferait d'elle son héritière universelle.

1848/02/14 (02)

PARIS, (je sais, c'est pas chez nous, mais nous sommes dans l'effervescence pré révolutionnaire de février 1848) : Après l'agitation de la Chambre des Députés, on a essayé de la faire passer dans la rue. Quelques groupes hostiles ont investi le Fbg St-Antoine en chantant "La Marseillaise", (chant révolutionnaire à l'époque). Mais peine perdue, les ouvriers de ce quartier sont restés paisibles et indifférents.

1848/02/20 (02)

Instruction publique Primaire : Postes vacants, Arr. de St-Pol, Savy-Berlette, Buire-au-Bois, Beaudricourt, Noyellette, Blingel, St-Georges, Blangermont et Framecourt, Les instituteurs sans emploi peuvent s'adresser aux Maires.

1852/01/01 (02)

Inst

1920/01/08 (01)

Lille-Paris en train, 8H15 de trajet...

Train 202 : départ de Lille à 21H30, arrivée Paris 05H45. Train direct, plus d'arrêt à Corbehem, Vitry, Biache, Roeux ni Amiens.

Un train direct !!! Aujourd'hui en TGV direct, 1H02 à 1H18 si aucune perturbation.

Articles de presse...
Date & (n° journal)

1847/10-11-12/ (02)

Ambrines : M. TORDEUX, curé d'Ambrines part à Longvillers & Maresville (Etaples).

1848/01/07 (02)

Le comité supérieur de l'Instruction Public de l'arr. de St-Pol a nommé dans sa séance du 30/12/1847, M. Cressent, maire de St-Pol, vice-président et M. Truffier, instituteur à Manin, secrétaire.

1848/01/09 (02)

Tincques :  décès de l'Abbé LEFEBVRE, curé de Tincques & avant de Chelers, à l'âge de 50a suite à une maladie de langueur.

1848/01/09 (02)

Arras :  Mercredi 5 janvier, un jeune garçon de 7-8a jouait sur la glace près du pont de grès. La glace a rompu. Heureusement, il a été promptement retiré.

1848/01/13 (02)

Arras :  accident domestique. Dimanche 09 janvier, Melle Florence, âgée de 72a, pendant l'absence de sa domestique est tombée dans son feu. Elle a expiré après d'horribles tortures.

1848/01/21 (02)

Cambrai : exécution de Payen dit Saute-dessus. Dans la nuit de dimanche à lundi 17 janvier, le condamné fut éveillé à 2 H du matin dans la prison de Douai par l'aumônier qui le prévint de son sort. Il se contenta de répondre : "Vous savez bien que je suis prêt , j'aime mieux mourir que d'aller au bagne". Dès qu'il fut habillé, on le fit monter dans une charrette découverte escortée des gendarmes qui l'emmenèrent à Cambrai où il arriva vers 5H. A son arrivée, il prit une tasse de café noir pour se réchauffer. Peu après, on fit entrer dans sa cellule son neveu et sa mère qu'il embrassa tendrement en versant des larmes. Quand ils furent partis, il resta avec le prêtre.

Vers 08H, l'échafaud se dressait sur l'esplanade de la citadelle, monté par le bourreau et ses deux fils. Malgré le peu de publicité qu'on avait donnée à cette exécution, une foule importante de gens de la campagne et d'hommes attendaient aux abords de la guillotine.

A 08H30, le bourreau se rendit à la prison faire la toilette de Payen qui resta silencieux.

A 08H45, il quitta la prison sur une charrette à 4 roues tirée par un cheval et escortée de la gendarmerie et de la ligue. Payen, assis dos au cheval, ne cessa de fixer le crucifix que lui présentait l'aumônier. Il avait le teint extrêmement blême qu'il offrait le visage d'un mort. Au pied de l'échafaud, le prêtre lui tendit le crucifix qu'il embrassa. Les fils de l'exécuteur le soulevèrent et le placèrent sur la planchette sur le ventre. On ne le sangla pas attendu qu'il était sans mouvement. Quand sa tête fut placée dans la trappe, le couteau tomba immédiatement. Payen dit Saute-dessus venait de franchir l'espace qui le séparait de l'éternité.

1848/01/29 (02)

Pas-de-Calais : recrutement, classe 1847. Arrêté préfectoral fixant la date et l'heure du tirage au sort. Aubigny le 3 mars à 10H, Avesnes le 4 mars à 10H, Heuchin le 6 mars, 10H & Saint-Pol, 9 mars à 10H.

1848/02/02 (02)

Arras :  Jeudi 27 janvier, un jeune imprudent voulant tester la solidité de la glace près du pont de grès, a été englouti. Heureusement, plusieurs personnes formèrent une chaîne et le tirèrent à temps de l'eau glacée.

1848/02/12 (02)

Douai :  Jean Baptiste Digniel, 69a, condamné à mort par la Cour d'Assises de St-Omer pour infanticide est arrivé à la prison de Douai. Sa peine ayant été commuée en celle des travaux à perpétuité, il doit assister à l'entérinement des ces lettres de commutation. Le vieillard, affaibli par l'âge et souffrant, marchant avec difficulté, le visage pâle et flétri à l'aspect d'une figure de cire, est amené par 2 gendarmes armés aux pieds de la Cour pour écouter la lecture des lettres de grâce. Tout après, il est ramené à la maison d'arrêt.

1848/02/12 (02)

LE PUY, Haute-Loire (parce que tout n'est pas noir) :  Une femme en couches, expirait. Les voisins rassemblés interceptent M. MARTEL, docteur, qui passait. Ils lui expliquent. "Je n'ai pas mes instruments mais qu'on m'apporte un rasoir. Arrivé auprès de la malheureuse, il l'examine et attend son dernier soupir. Aussitôt, d'une main ferme et rapide, il ouvre le flanc de ce cadavre et en retire toute vivante une petite fille, baptisée sur le champ par un vicaire de la paroisse présent. Plus tard, on l'emmena à l'église pour être confirmée dans son baptême, et à la mairie pour être enregistrée à l'état civil.

Avant de se retirer, le Docteur MARTEL exprima le désir d'adopter cette enfant avec l'accord du père. Il la nommerait Césarine, l'élèverait suivant son rang et ferait d'elle son héritière universelle.

1848/02/14 (02)

PARIS, (je sais, c'est pas chez nous, mais nous sommes dans l'effervescence pré révolutionnaire de février 1848) : Après l'agitation de la Chambre des Députés, on a essayé de la faire passer dans la rue. Quelques groupes hostiles ont investi le Fbg St-Antoine en chantant "La Marseillaise", (chant révolutionnaire à l'époque). Mais peine perdue, les ouvriers de ce quartier sont restés paisibles et indifférents.

1848/02/20 (02)

Instruction publique Primaire : Postes vacants, Arr. de St-Pol, Savy-Berlette, Buire-au-Bois, Beaudricourt, Noyellette, Blingel, St-Georges, Blangermont et Framecourt, Les instituteurs sans emploi peuvent s'adresser aux Maires.

1852/01/01 (02)

Inst

1920/01/08 (01)

Lille-Paris en train, 8H15 de trajet...

Train 202 : départ de Lille à 21H30, arrivée Paris 05H45. Train direct, plus d'arrêt à Corbehem, Vitry, Biache, Roeux ni Amiens.

Un train direct !!! Aujourd'hui en TGV direct, 1H02 à 1H18 si aucune perturbation.

Articles de presse...
Date & (n° journal)

1847/10-11-12/ (02)

Ambrines : M. TORDEUX, curé d'Ambrines part à Longvillers & Maresville (Etaples).

1848/01/07 (02)

Le comité supérieur de l'Instruction Public de l'arr. de St-Pol a nommé dans sa séance du 30/12/1847, M. Cressent, maire de St-Pol, vice-président et M. Truffier, instituteur à Manin, secrétaire.

1848/01/09 (02)

Tincques :  décès de l'Abbé LEFEBVRE, curé de Tincques & avant de Chelers, à l'âge de 50a suite à une maladie de langueur.

1848/01/09 (02)

Arras :  Mercredi 5 janvier, un jeune garçon de 7-8a jouait sur la glace près du pont de grès. La glace a rompu. Heureusement, il a été promptement retiré.

1848/01/13 (02)

Arras :  accident domestique. Dimanche 09 janvier, Melle Florence, âgée de 72a, pendant l'absence de sa domestique est tombée dans son feu. Elle a expiré après d'horribles tortures.

1848/01/21 (02)

Cambrai : exécution de Payen dit Saute-dessus. Dans la nuit de dimanche à lundi 17 janvier, le condamné fut éveillé à 2 H du matin dans la prison de Douai par l'aumônier qui le prévint de son sort. Il se contenta de répondre : "Vous savez bien que je suis prêt , j'aime mieux mourir que d'aller au bagne". Dès qu'il fut habillé, on le fit monter dans une charrette découverte escortée des gendarmes qui l'emmenèrent à Cambrai où il arriva vers 5H. A son arrivée, il prit une tasse de café noir pour se réchauffer. Peu après, on fit entrer dans sa cellule son neveu et sa mère qu'il embrassa tendrement en versant des larmes. Quand ils furent partis, il resta avec le prêtre.

Vers 08H, l'échafaud se dressait sur l'esplanade de la citadelle, monté par le bourreau et ses deux fils. Malgré le peu de publicité qu'on avait donnée à cette exécution, une foule importante de gens de la campagne et d'hommes attendaient aux abords de la guillotine.

A 08H30, le bourreau se rendit à la prison faire la toilette de Payen qui resta silencieux.

A 08H45, il quitta la prison sur une charrette à 4 roues tirée par un cheval et escortée de la gendarmerie et de la ligue. Payen, assis dos au cheval, ne cessa de fixer le crucifix que lui présentait l'aumônier. Il avait le teint extrêmement blême qu'il offrait le visage d'un mort. Au pied de l'échafaud, le prêtre lui tendit le crucifix qu'il embrassa. Les fils de l'exécuteur le soulevèrent et le placèrent sur la planchette sur le ventre. On ne le sangla pas attendu qu'il était sans mouvement. Quand sa tête fut placée dans la trappe, le couteau tomba immédiatement. Payen dit Saute-dessus venait de franchir l'espace qui le séparait de l'éternité.

1848/01/29 (02)

Pas-de-Calais : recrutement, classe 1847. Arrêté préfectoral fixant la date et l'heure du tirage au sort. Aubigny le 3 mars à 10H, Avesnes le 4 mars à 10H, Heuchin le 6 mars, 10H & Saint-Pol, 9 mars à 10H.

1848/02/02 (02)

Arras :  Jeudi 27 janvier, un jeune imprudent voulant tester la solidité de la glace près du pont de grès, a été englouti. Heureusement, plusieurs personnes formèrent une chaîne et le tirèrent à temps de l'eau glacée.

1848/02/12 (02)

Douai :  Jean Baptiste Digniel, 69a, condamné à mort par la Cour d'Assises de St-Omer pour infanticide est arrivé à la prison de Douai. Sa peine ayant été commuée en celle des travaux à perpétuité, il doit assister à l'entérinement des ces lettres de commutation. Le vieillard, affaibli par l'âge et souffrant, marchant avec difficulté, le visage pâle et flétri à l'aspect d'une figure de cire, est amené par 2 gendarmes armés aux pieds de la Cour pour écouter la lecture des lettres de grâce. Tout après, il est ramené à la maison d'arrêt.

1848/02/12 (02)

LE PUY, Haute-Loire (parce que tout n'est pas noir) :  Une femme en couches, expirait. Les voisins rassemblés interceptent M. MARTEL, docteur, qui passait. Ils lui expliquent. "Je n'ai pas mes instruments mais qu'on m'apporte un rasoir. Arrivé auprès de la malheureuse, il l'examine et attend son dernier soupir. Aussitôt, d'une main ferme et rapide, il ouvre le flanc de ce cadavre et en retire toute vivante une petite fille, baptisée sur le champ par un vicaire de la paroisse présent. Plus tard, on l'emmena à l'église pour être confirmée dans son baptême, et à la mairie pour être enregistrée à l'état civil.

Avant de se retirer, le Docteur MARTEL exprima le désir d'adopter cette enfant avec l'accord du père. Il la nommerait Césarine, l'élèverait suivant son rang et ferait d'elle son héritière universelle.

1848/02/14 (02)

PARIS, (je sais, c'est pas chez nous, mais nous sommes dans l'effervescence pré révolutionnaire de février 1848) : Après l'agitation de la Chambre des Députés, on a essayé de la faire passer dans la rue. Quelques groupes hostiles ont investi le Fbg St-Antoine en chantant "La Marseillaise", (chant révolutionnaire à l'époque). Mais peine perdue, les ouvriers de ce quartier sont restés paisibles et indifférents.

1848/02/20 (02)

Instruction publique Primaire : Postes vacants, Arr. de St-Pol, Savy-Berlette, Buire-au-Bois, Beaudricourt, Noyellette, Blingel, St-Georges, Blangermont et Framecourt, Les instituteurs sans emploi peuvent s'adresser aux Maires.

1852/01/01 (02)

Inst

1920/01/08 (01)

Lille-Paris en train, 8H15 de trajet...

Train 202 : départ de Lille à 21H30, arrivée Paris 05H45. Train direct, plus d'arrêt à Corbehem, Vitry, Biache, Roeux ni Amiens.

Un train direct !!! Aujourd'hui en TGV direct, 1H02 à 1H18 si aucune perturbation.

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